Me voici donc maintenant avec une batterie éduquée, le soleil brille,
la température est douce : le trajet s’annonce pour le mieux.
Je ne vous ai pas raconté comment, après avoir scruté le plan de la ville, j'ai finalement déniché un itinéraire en or ! C'est une petite rue qui grimpe en partant de la Vincenderie, et se faufile entre des murs fleuris. Une ruelle où les voitures n'existent presque pas et qui se termine sur une piste cyclable. Un bonheur !
Et le matin, avant que la chaleur n'ait tout écrasé, les rosiers embaument. Les chats se prélassent au milieu de la rue. Bien sûr, çà et là un chien jappe sur mon passage presque silencieux. Même pas peur ! Plus loin, je bifurque dans vers le quartier des castors. Je longe des pavillons bien propres qui s'enroulent autour d'une place ombragée et fleurie. Les clôtures sont basses et les jardins s'offrent au regard.
la température est douce : le trajet s’annonce pour le mieux.
Je ne vous ai pas raconté comment, après avoir scruté le plan de la ville, j'ai finalement déniché un itinéraire en or ! C'est une petite rue qui grimpe en partant de la Vincenderie, et se faufile entre des murs fleuris. Une ruelle où les voitures n'existent presque pas et qui se termine sur une piste cyclable. Un bonheur !
Et le matin, avant que la chaleur n'ait tout écrasé, les rosiers embaument. Les chats se prélassent au milieu de la rue. Bien sûr, çà et là un chien jappe sur mon passage presque silencieux. Même pas peur ! Plus loin, je bifurque dans vers le quartier des castors. Je longe des pavillons bien propres qui s'enroulent autour d'une place ombragée et fleurie. Les clôtures sont basses et les jardins s'offrent au regard.
Le mardi, c'est le jour du marché à Bux et les dames se retrouvent sur le chemin, papotent, tout en tirant leur panier à roulette. Plus loin, une autre lessive sa barrière. Ici comme ailleurs, le pvc fleurit autour des maison, dommage...Et maintenant, nous voilà à la saison des tilleuls. Le parfum est délicat le matin, entêtant le soir. Je pédale en souplesse, le sourire au lèvres. Un instant de petit bonheur simple avant les tracas du boulot.
A mes copines qui me disent ne pas vouloir faire de sport comme moi, je réponds : non seulement maintenant que je suis en harmonie avec la batterie je ne fais plus d'effort et mon vélo file avec un petit sifflement caractéristique du moteur électrique, mais en plus je profite de quelques instants sans souci. Y a pire, non ?
Bilan : le vélo électrique, çà rend poète.A mes copines qui me disent ne pas vouloir faire de sport comme moi, je réponds : non seulement maintenant que je suis en harmonie avec la batterie je ne fais plus d'effort et mon vélo file avec un petit sifflement caractéristique du moteur électrique, mais en plus je profite de quelques instants sans souci. Y a pire, non ?
2 commentaires:
Chère Blogueuse
Vous êtes vivement conviée à un pique-nique rencontre entre blogueurs Poitevins qui se teindra sur les Pelouse du parc de Blossac le mardi 10 juillet à partir de 19h.
Cette rencontre qui n’a aucun but particulier, excepté le fait de se faire rencontrer des personnes qui aime publier sur la toile.
Merci de confirmer votre présence via mon blog
Bien amicalement
Coccinelle
Oh que c'est beau.
Ca me rappelle mon expérience. Au début, avant d'acheter mon premier vélo électrique pour aller au travail, j'ai voulu prendre une décision rationnelle: retour sur investissement, temps de trajet, stationnement, est-ce vraiment viable, etc.
Et puis au bout de quelques mois je me suis rendu compte que le vélo électrique m'apporte un énorme bien-être qu'aucun autre moyen de transport ne m'apportait. Pour ce que tu décris, pour le bien-être physique dû à la pratique d'un sport léger régulièrement, pour cette sensation de liberté, ce contact avec ce qui nous entoure (nature et personnes).
En fait, si la décision était à reprendre, je prendrais le vélo électrique même si ce n'était plus du tout rationnel. C'est tellement agréable!
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