La circulation est très agréable : peu de voitures et c’est en descente. J’arrive au carrefour du pont Le Nain sans encombre. J’ai même pu regarder les maisons fleuries sur le chemin. Le feu est bien pratique, pas de risque majeur. Il faut de nouveau traverser la place Jean de Berry et la Porte de Paris.
Je m’élance et traverse sans problème. Les voitures sont sages ce soir. Le feu est rouge Porte de Paris et je vais tester mon moteur avec mon premier démarrage en côte. C’est cool : le feu passe au vert, j’appuie sur la pédale et le moteur s’enclenche. Les automobilistes sont surpris de la vitesse à laquelle je traverse le carrefour !
Et l’avenue de Nantes s’offre à moi !
Bien que le témoin de charge m’indique qu’il n’y a plus de courant, en fait il en reste. Me voici donc, pédalant gentiment. Les dépassements des voitures sont moins « hargneux » qu’avenue de l’Europe ce matin. J’arrive au feu rouge du carrefour avec la rue de la roche. Pas de problème pour le redémarrage. Pourtant je ne suis pas encore très sure de moi sur ce vélo. Dernière inquiétude : la traversée de l’avenue de Nantes à Condorcet.
Et là encore tout se passe sans encombre.
Bilan de ma journée cycliste : je suis convaincue. J’ai trouvé mon nouveau moyen de transport pour aller travailler. Quand j’aurai trouvé le bon itinéraire du matin, ce sera le top. Un doute subsiste : existe-t-il cet itinéraire ? Compte tenu de l’investissement que je viens de faire, il vaudrait mieux que je le trouve ; parce qu’avoir dépensé autant d’argent pour le laisser au garage, çà m’agacerait.
2 commentaires:
Je vois que le trajet du retour te donne des ailes, étonnant, non ?
Chouette, on peut laisser des commentaires maintenant ?
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