L’équation à résoudre : aller de l’avenue de Nantes à la Pépinière tous les matins et en revenir tous les soirs en dépensant le moins d’énergie possible et dans un temps raisonnable.
Première hypothèse : les transports en commun. Ex-parisienne, je suis une utilisatrice convaincue du bus. Mais il faut bien admettre que mon équation poitevine ne trouve pas sa solution avec Vitalis. Pour mon trajet, je dois emprunter deux bus : le 7 ou le 11 combiné au 2. Synchroniser les deux trajets est un sport en soi ! Surtout quand, comme moi, on quitte le travail aux environs de 19h30. J’ai essayé, je le jure, et çà n’est définitivement pas satisfaisant : j’en ai eu assez de mettre une heure pour parcourir 3km en transport en commun. Ceci dit, ça reste un pis-aller.
Deuxième hypothèse : le co-voiturage. Compte tenu du nombre de mes collègues qui passent chaque matin par l’avenue de Nantes pour aller au travail, il devrait y avoir un gisement de trajets. L’efficacité n’est pas prouvée là non plus. Comme je ne travaille ni à heures fixes, ni à jours fixes, gérer le planning du co-voiturage est un vrai casse-tête. Et pour tout dire, çà n’est pas encore rentré dans les mœurs.
Troisième hypothèse : le vélo. Et pour tout dire, j’ai renoncé à mon premier trajet. J’attendais que les vélos à assistance électrique se démocratisent. On y est.
1 commentaire:
3 km? Mais c'est tout à fait adapté au vélo, ça! En vélo électrique, je compterais 12 minutes en milieu urbain pour ce trajet.
Et puis il y a un autre argument qu'on découvre en roulant: c'est super agréable. Ca me fait toujours un bien fou de rouler en vélo électrique, rien à voir avec la voiture, le bus ou le métro.
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